Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre rondelette au centre de son usine. Elle y jetait les contenus de cuivre en calme, laissant les feux danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un automatisme. C’était une respiration lente, une manie débarquée d’un fait familial répété à n'importe quel https://sergioymvbg.blogginaway.com/34862177/les-courbes-diminués