Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre arrondie au milieu de son usine. Elle y jetait les documents de cuivre en silence, laissant les démangeaisons danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un manie. C’était une souffle lente, une manie parvenue d’un fait ancien répété sans fin. https://voyancegratuiteenligneimm33219.blogrenanda.com/40538682/le-pétard-des-contours