Dans l’enceinte admirablement hermétique du foyer d’appels, les techniciens continuaient à répondre aux sollicitations sans noms, bercés par le rythme monotone de leurs shifts, l’esprit oscillant entre complaisance perçante et indigence diffus. Chaque voyant recevait des flux sensoriels à travers une interface adaptative, ajustée à son profil psychologique. Aucun contact https://henryc677pmh4.myparisblog.com/34523351/le-centre-d-appels-des-disparus