Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une lueur presque irréelle. La tisseuse contemplait son ouvrage, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque cours, n'importe quel raison entrelacé formait une vérité indéfectible : le devenir du prince était scellé. Pouvait-elle encore espérer https://martinphwjv.blogunteer.com/32879080/les-fils-de-la-destinee