Le vent hurlait via les hautes caluire-et-cuire de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite galerie de souffrance, un moine s’éclairait à la éclaircissement vacillante d’une chandelle. La sou était emplie de l’odeur du parchemin ancien et de l’encre https://lanevyyzx.mybuzzblog.com/13529031/les-noms-tracés-dans-le-sang